Meghan Hines, de RBC, parle de l'ivresse de la victoire, de l'abattement de la défaite et de la joie liée au sentiment de communauté que ressentent les joueurs durant la Coupe du monde de powerhockey.

Cet article a été initialement publié sur Nouvelles et Articles

En amorçant sa deuxième participation à la Coupe du monde de powerhockey, l’équipe canadienne était considérée comme perdante probable.

Il s’agit là d’une position qui ne déplaît pas du tout à Meghan Hines. Membre de l’équipe nationale pour une troisième fois, celle-ci explique qu’en Coupe du monde, les joueurs canadiens doivent adapter considérablement leur façon de jouer, car les matchs internationaux sont régis à la fois par des règles du soccer professionnel et du hockey sur glace. Les filets sont plus larges et moins hauts que ceux utilisés lors des matchs régis par les règlements nord-américains. De plus, il n’y a pas de hors-jeu durant les matchs internationaux, ce qui favorise les passes plus longues et rend le jeu plus fluide. Les joueurs sont aussi autorisés à utiliser des fauteuils de sport, qui peuvent se déplacer à 15 km/h et pivoter sur place, choses que ne peuvent pas faire les fauteuils électriques ordinaires.

Cela dit, selon Meghan Hines, qui a conservé une moyenne de plus d’un point par match comme membre de l’équipe torontoise pour laquelle elle joue depuis 1999, la persévérance et la capacité de s’adapter en dehors des matchs contribuent à forger le caractère dont on a besoin pour pratiquer ce sport. « Il faut simplement trouver des façons d’avancer malgré les obstacles. On n’obtient pas nécessairement chaque fois les résultats qu’on aurait souhaités, mais il y a toujours des leçons à tirer afin de s’améliorer. »

Il y a environ 250 joueurs de powerhockey au Canada, et ce sport est en croissance dans divers pays, particulièrement en Europe et en Australie. (Dix pays ont participé au tournoi de cette année, en août.) On comprend facilement que ce sport soit aussi populaire dans le monde, dit Meghan Hines, car c’est l’exemple parfait d’une activité misant sur l’inclusion et la diversité – sur le plan des capacités, de l’âge et du genre – pour favoriser l’excellence collective.

La dimension sociale de ce sport est aussi un attrait important. Meghan Hines décrit l’équipe torontoise dans laquelle elle joue comme sa « famille de powerhockey », une famille dont fait également partie son fiancé, Ramin Raunak. Celui-ci est en outre son coéquipier au sein de l’équipe nationale. « Le fait d’être en contact avec des gens ayant des handicaps similaires au mien et de pouvoir apprendre d’eux m’a aidée à mieux vivre avec mon handicap, particulièrement à l’étape de ma transition vers la ligue senior », dit-elle.

Pratiquer ce sport peut toutefois s’avérer extrêmement coûteux, surtout si l’on participe à des compétitions de haut niveau. Meghan Hines est par conséquent très reconnaissante du soutien offert par son employeur en tant que commanditaire de la participation de l’équipe canadienne à la Coupe du monde de cette année, en Suisse. « Avoir l’appui d’une marque d’envergure mondiale comme RBC contribue non seulement à alléger les préoccupations financières des joueurs, mais aussi à faire savoir partout dans le monde que le powerhockey est maintenant présent sur la scène internationale – et que c’est un sport en plein essor. »

Meghan Hines est aussi l’actuelle présidente de PowerHockey Canada, un organisme national de parasport qui s’emploie à favoriser la croissance du powerhockey à l’échelle du pays. Durant le tournoi, l’athlète a tenu un journal, qu’elle a transmis à Articles RBC. Nous en reproduisons ci-dessous des extraits.

Préparation au tournoi

J’avais l’impression que c’était le matin de Noël !

Le moment que mes coéquipiers et moi attendions avec tant d’impatience est enfin arrivé jeudi après-midi : nous avons pris l’avion à destination de la Suisse afin d’y représenter le Canada à la Coupe du monde de powerhockey de 2022. Après une attente de deux heures attribuable à un retard, suivie d’un vol qui a semblé interminable, nous sommes arrivés à Zurich et avons été accueillis par des représentants du tournoi. On nous a dirigés vers deux autocars dont les côtés arboraient le logo du tournoi. En voyant cela, tout a commencé à devenir plus réel…

Après avoir bien dormi, il était temps pour nous de nous mettre au travail. Non seulement le programme de la journée comportait diverses activités d’entraînement, mais nous étions censés enfin recevoir nos fauteuils de sport ce jour-là ! À l’heure actuelle, au Canada, il n’y a pas de fabricants de tels fauteuils, de sorte que notre équipe a dû louer des fauteuils en Europe. Certains de mes coéquipiers et moi-même avons par la suite décidé d’acheter ces fauteuils. J’avais l’impression que c’était le matin de Noël !

Il a fallu un peu de temps pour m’habituer au fauteuil, car la façon de le manœuvrer est très différente de celle de mon fauteuil habituel. Mais je suis devenue à l’aise assez rapidement.

C’est l’un des aspects des tournois que j’apprécie le plus : la possibilité de faire la connaissance des membres des autres équipes et de vivre tous ensemble cette expérience formidable.

Après la séance d’entraînement matinale, nous avions un après-midi libre. Nous avons donc décidé de prendre le train pour Lucerne, la grande ville la plus proche, afin de découvrir davantage la Suisse. Ce simple voyage en train nous a permis d’admirer des paysages de montagne grandioses, et à notre arrivée à Lucerne, nous étions impatients de nous lancer à sa découverte. Malheureusement, comme une bonne part des rues de la ville sont en pavés, il n’est pas facile de s’y déplacer en fauteuil électrique ! Mais nous n’avons pas laissé cette difficulté nous arrêter. Nous nous sommes promenés, nous avons savouré une fondue au fromage à l’heure du lunch et nous avons acheté des souvenirs pour nos amis et les membres de notre famille, dont, bien entendu, du délicieux chocolat suisse !

À notre retour sur les lieux du tournoi, nous avons passé la soirée ensemble, mais nous en avons aussi profité pour reprendre contact avec nos amis membres des autres équipes et pour faire la connaissance d’autres joueurs. C’est l’un des aspects des tournois que j’apprécie le plus : la possibilité de faire la connaissance des membres des autres équipes et de vivre tous ensemble cette expérience formidable.

Jour 1

Lorsque l’annonceur a finalement présenté l’équipe du Canada, j’ai eu des frissons.

Tout est devenu très réel pour moi lorsque je suis entrée sur la surface de jeu pour la première fois et que j’ai regardé vers les gradins, dans lesquels on attendait une foule plus tard dans la soirée. En raison de l’horaire chargé, nous n’avons pu passer qu’une trentaine de minutes sur la surface de jeu.

Plus tard ce jour-là, les cérémonies d’ouverture ont donné le coup d’envoi officiel du tournoi. Dans une ambiance électrisante, tous les membres des équipes se sont alignés sous les gradins remplis de supporteurs. Lorsque l’annonceur a finalement présenté l’équipe du Canada, j’ai eu des frissons en entrant sur le terrain avec mes coéquipiers ! Après les cérémonies d’ouverture, un match a opposé l’équipe de la Suisse, le pays hôte, à celle de l’Italie qui, ayant remporté la Coupe du monde en 2018, était la championne en titre. Chacune des deux équipes avait quelque chose à prouver, et du début à la fin, le match a été passionnant en raison de l’intensité du jeu et de l’habileté des joueurs. La Suisse a finalement remporté le match par une marque serrée de 5-4. De notre côté, non seulement nous avons pris plaisir à regarder le match, mais nous avons suivi l’action avec un œil critique, car nous savions qu’il nous faudrait affronter ces deux équipes durant le tournoi. Celui-ci n’était que notre troisième occasion de jouer selon les règles internationales, et la fois précédente remontait à 2019 en raison de la pandémie, de sorte que nous avions encore beaucoup à apprendre.

Stade de hockey

Photo : « Dans une ambiance électrisante, tous les membres des équipes se sont alignés sous les gradins remplis de supporteurs, » dit Meghan.

Jour 2

Nous n’avons pas été chanceux lors de la cérémonie de tirage au sort.

Mercredi a été pour nous le grand jour : nous disputions notre premier match officiel ! Nous ne nous attendions pas à ce qu’aucun de nos matchs soit facile, car nous étions nettement l’équipe la moins favorite du tournoi. Mais la cérémonie du tirage au sort n’a pas arrangé les choses pour nous, car le sous-groupe dans lequel nous avons été placés pour la première ronde était composé d’opposants redoutables. Il y avait dans ce groupe l’Italie, championne en titre, la Suisse, l’équipe hôte, la Belgique, une équipe redoutable et très expérimentée, et enfin les Pays-Bas, l’une des équipes les plus expérimentées, le pays comptant des milliers de joueurs ; cette équipe a fréquemment terminé en tête ou dans le haut du classement lors des championnats mondiaux précédents. Malgré ce contexte, nous étions déterminés à livrer une chaude lutte à nos adversaires, du premier au dernier coup de sifflet de chacun des matchs.

Notre premier match s’est terminé par la marque de 14-0. Même s’il s’agissait d’une lourde défaite, nous avons reçu de toute part des commentaires réconfortants. Les autres joueurs, les entraîneurs, les spectateurs et même l’équipe de commentateurs nous ont dit que nous nous étions nettement améliorés depuis 2018, année où nous avions affronté ces équipes en Coupe du monde pour la dernière fois.

Jour 3

Ma directrice à RBC avait réuni mes collègues au bureau afin qu’ils puissent regarder le match ensemble !

Le jeudi, un autre match difficile nous attendait : nous affrontions l’équipe des Pays-Bas ! Nous étions intimidés par cet adversaire, car il s’agit d’une équipe expérimentée qui s’est distinguée au fil des ans. Les joueurs néerlandais se sont cependant tous montrés très gentils et très encourageants à notre égard. L’un d’eux nous a même aidés à fabriquer les bâtons en T que certains de mes coéquipiers et moi-même avons utilisés avec nos fauteuils de sport, car nous n’avions jamais fabriqué ce genre de bâton auparavant. Nous avons malheureusement essuyé une défaite de 31-1. Cela peut sembler difficile à encaisser (et ça l’a été !), mais ce match a tout de même eu certains aspects positifs pour nous. La dernière fois que nous avions affronté cette équipe, en 2018, nous avions perdu par un écart plus important (33-0). Nos adversaires ont reconnu que nous nous étions beaucoup améliorés depuis ce temps. Et cette fois-ci, nous avons marqué un but. De plus, l’un des buts de nos adversaires a été marqué par un joueur utilisant un bâton en T (un bâton qui, comme le mien, est fixé au fauteuil du joueur). Ce genre de but compte pour deux points. En somme, nous avons perdu par un écart de 29 buts, par comparaison avec un écart de 33 buts en 2018 ! (Je sais que j’ai l’air de chercher tous les arguments imaginables. Mais si l’on regarde l’ensemble du tableau, on se rend compte que c’était l’équipe à battre, et elle a d’ailleurs remporté par des écarts considérables la plupart des matchs l’opposant à des équipes expérimentées.)

Autre aspect très stimulant pour moi lors de ce match, ma directrice à RBC avait réuni mes collègues au bureau afin qu’ils puissent regarder le match ensemble ! J’ai été très touchée par cette manifestation de soutien de sa part et de la part de mes collègues. Avant le match, j’avais reçu des messages d’encouragement. Et après le match, j’ai reçu des photos de mes collègues avec les pancartes amusantes qu’ils avaient confectionnées pour l’occasion ! Même si j’aurais aimé que nous fassions meilleure figure, le fait de savoir que ma famille RBC nous appuyait m’a procuré une immense fierté. Cela a renforcé ma motivation et ma détermination à ne pas abandonner, peu importe les difficultés rencontrées durant le match.

Jour 4

Il a fallu en tirer les leçons et nous ressaisir en prévision de notre dernier match.

La journée de vendredi était chargée : nous devions livrer deux matchs, dont le premier contre l’équipe italienne, championne en titre. Même si nous avons de nouveau subi une lourde défaite – de 15-1 –, nous avons encore une fois noté des améliorations, car en 2018 nous avions perdu 22-0. Sans compter qu’une fois de plus cette année, nous avons réussi à inscrire un point au tableau. Même si ces aspects positifs peuvent sembler sans grande importance, ils prennent un tout autre sens si l’on tient compte du fait que notre équipe est encore très peu habituée à cette version du sport et que nous n’avions reçu nos fauteuils de sport que depuis moins d’une semaine.

Notre second match de la journée nous a opposés à l’équipe belge, contre laquelle nous avions perdu 13-1 en 2018. Ce match a été âprement disputé, et beaucoup plus serré que nos matchs précédents. Nous aurions aimé que ce soit notre premier du tournoi, car nous aurions été plus stimulés pour la suite ! La première des deux périodes s’est terminée par une marque de 0-0. Cette période avait été ponctuée d’affrontements intenses, et nous étions extrêmement fiers de notre performance jusque-là. Quelques minutes après le début de la deuxième période, l’équipe belge a marqué un premier but. Malheureusement pour nous, plus tard dans la période, à la suite de décisions difficiles de la part des arbitres, l’équipe belge a bénéficié de lancers de pénalité qui lui ont permis de marquer deux autres buts. Même si le match avait été très serré, il s’est soldé pour nous par une défaite de 3-0. Nous perdions ainsi un match que nous avions vraiment cru pouvoir remporter. Il a fallu en tirer les leçons et nous ressaisir en prévision de notre dernier match du tournoi, qui devait nous opposer à l’Australie le jour suivant.

Jour 5

Nous l’avons emporté.

En dehors du terrain, l’équipe australienne était probablement celle avec laquelle nous avions établi les liens les plus étroits, car nous étions allés en Australie en 2019 pour participer aux championnats d’Australie des clubs de hockey en fauteuil électrique, et nous étions restés en contact avec un grand nombre de joueurs et de supporteurs. Sur le terrain, toutefois, cette équipe demeurait un adversaire et nous étions bien déterminés à tenter d’avoir le dessus. Lors du tournoi de 2018, nous avions gagné par une marque de 4-2 notre match contre l’équipe australienne. Et en 2019, les deux équipes du Canada avaient terminé le tournoi en troisième et quatrième position. Cependant, nous ne pouvions pas nous permettre de sous-estimer notre adversaire. Ce sport se pratique en Australie depuis des années et l’équipe compte de nouveaux joueurs solides. La première période s’est terminée par une marque de 1-0 en notre faveur. Même si nous étions heureux d’avoir l’avance, il ne fallait pas relâcher nos efforts, car nous savions que nos adversaires pouvaient facilement rebondir. À la mi-match, nos entraîneurs n’ont pas mis de gants blancs pour nous dire comment aborder la suite du match. Nous avions grand besoin de cette stimulation ! Cela nous a permis d’aborder la deuxième période gonflés à bloc, et nous l’avons emporté par une marque de 8-2 ! Nous étions très fiers, et c’était formidable de voir ce tournoi se terminer pour nous par une victoire.

équipe de power-hockey

Photo : Meghan écrit : « À la mi-match, nos entraîneurs n’ont pas mis de gants blancs pour nous dire comment aborder la suite du match. Nous avions grand besoin de cette stimulation ! »

Jour 6

Je ne serais pas la personne que je suis aujourd’hui s’il n’y avait pas le powerhockey.

Comme nous n’avions aucun match le dernier jour, le tournoi était malheureusement terminé pour nous. Cela nous a toutefois permis de continuer de tirer des leçons précieuses en observant les dernières rencontres. Ces derniers matchs, en particulier les affrontements pour la médaille de bronze (Suisse contre Finlande) et la médaille d’or (Danemark contre Pays-Bas), ont été intenses et passionnants à regarder ! L’équipe hôte a remporté la médaille de bronze par une marque de 5-4. Quant à l’affrontement pour la médaille d’or, beaucoup s’attendaient à une victoire des Pays-Bas. Toutefois, l’équipe danoise – qui avait terminé au second rang en 2018 et qui, tout comme l’équipe néerlandaise, n’avait subi aucune défaite durant le tournoi – l’a finalement emporté par une marque de 4-3. Mais rien n’était acquis au départ, et la balance aurait pu pencher d’un côté comme de l’autre dans ce match enlevant. Une fois les rencontres terminées, il ne restait au programme que les cérémonies de clôture et le dîner d’au revoir, événement très attendu par tous, car c’est l’occasion de se détendre, de savourer un bon repas et de reparler des bons moments du tournoi avec nos coéquipiers et nos nouveaux amis des autres équipes.

Même si nous avions espéré un meilleur résultat, nous étions fiers de notre performance globale et gardions à l’esprit que nous en sommes encore au début de notre aventure dans ce sport. Ce n’était que notre troisième présence dans un tournoi régi par les règles internationales, et notre participation précédente remontait à trois ans plus tôt, avant la pandémie. Nous nous étions beaucoup entraînés, mais notre équipe était encore très nouvelle dans ce sport, et l’expérience acquise lors des tournois contribue de façon très importante au développement des joueurs et des équipes. Tout au long du tournoi, nous avons été constamment félicités pour nos progrès. Les membres des équipes de tête, comme le Danemark et les Pays-Bas, nous ont encouragés en nous rappelant qu’ils avaient connu une situation similaire à la nôtre à leurs débuts – et l’on voit le niveau incroyable de réussite qu’ils ont atteint ! Depuis le tournoi, un grand nombre d’entraîneurs, de joueurs et de membres de l’organisme régissant le hockey en fauteuil électrique ont communiqué avec nous pour nous offrir du soutien, car ils sont convaincus du potentiel de notre équipe. Tout comme les entraîneurs de l’équipe canadienne de powerhockey et les autres membres du Conseil d’administration de PowerHockey Canada, dont je suis présidente, je me sens plus motivée que jamais à rechercher des façons de favoriser le développement de notre équipe au cours des quatre prochaines années, de manière à ce que nous puissions être encore mieux préparés pour la prochaine Coupe du monde. Nous disons souvent que notre plan a un horizon de huit à douze ans, et l’étape actuelle n’est que le début !

En dehors du jeu proprement dit, la possibilité de participer à un tournoi de cette ampleur et de rencontrer des joueurs du monde entier est vraiment quelque chose d’exceptionnel. Cet aspect a compté pour beaucoup dans ma décision de commencer à pratiquer le powerhockey et constitue l’une des principales raisons de mon engagement à l’égard de ce sport depuis l’âge de neuf ans. Le sentiment d’appartenir à une communauté, les gens que j’ai rencontrés et avec qui j’ai pu partager mon expérience de personne handicapée, ainsi que les possibilités extraordinaires qui se sont offertes à moi parce que je pratiquais ce sport, tout cela a véritablement changé ma vie. Je ne serais pas la personne que je suis aujourd’hui s’il n’y avait pas le powerhockey. Je n’aurais pas ma deuxième famille – ma « famille de powerhockey », comme disent nombre d’entre nous – si ce sport n’existait pas. Et pour tout cela, je suis profondément reconnaissante. Et je suis extrêmement emballée quand je songe à ce qui s’annonce pour mon développement futur comme athlète, pour mon équipe et, globalement, pour notre sport au Canada et sur la scène internationale !

équipe de power-hockey

Photo : L’étape actuelle n’est que le début !

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